Flandrin à l’atelier

Ce tableau d’Hippolyte Flandrin, accroché aux cimaises du musée des Beaux-arts de Lyon, me fascine à chaque visite. Le « raccourci », cette perspective appliquée à la figure humaine, est l’un des exercices les plus difficiles à mes yeux. Ici, il s’agit des jambes du « Jeune berger assis », et c’est assez vertigineux de complexité. Avec appréhension, je rêvais de me confronter un jour à lui. C’est aujourd’hui et j’en suis ravi.
A retrouver dans deux jours dans notre exposition « Je vous écris au passé recomposé ». Ternand, 69620.

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