Une sirène cachée dans une coquille d’huître, un marin qui cherche peut-être à la rejoindre et le décor autour…




Une sirène cachée dans une coquille d’huître, un marin qui cherche peut-être à la rejoindre et le décor autour…
Réinventer des histoires de bord de mer dans le livre-carnet-de-voyage-de-mes-inspirations…
Dessiné dans le miroir d’une chambre de l’hôtel Jeanne d’Arc, autoportrait à l’orteil cassé. Paris.
Mon village perché. Pour se sentir près des nuages.
Premières fleurs du printemps pour illuminer mon intérieur qui s’impatiente et penser à celle qui l’a composé.
Pour faire une pause entre deux tableaux à l’atelier, je travaille sur ma terrasse à cette sculpture de Frida, qui sera peu à peu recouverte de mosaïque.
Hier, j’ai remarqué que son regard avait étrangement changé et en regardant de plus près, je m’aperçus qu’une guêpe avait pondu dans son œil droit. Une petite armée de vers sortait à présent de cette grotte idéale ! Après m’être débarrassé de toute cette famille, j’ai lavé cet œil à grande eau. Et Frida semblait pleurer…
Je pense qu’elle aurait aimé cette histoire de vers dans les yeux et peut-être en aurait-elle fait une peinture ?
Hier soir, au numéro 1 du chemin de la Bergerie…
Faire infuser un sachet de « Joie de vivre » dans une théière rouge, puis faire couler le breuvage dans une tasse où l’on peut découvrir tout un paysage qui semble flotter au niveau de l’infusion, histoire de rêver et de s’évader encore plus loin. Un bouquet de fleurs blanches pour l’odeur et Anouar Brahem pour sa musique, comme du velours… Un peu de douceur, un peu de réconfort, après avoir reçu aujourd’hui une dose de chaleur et d’humanité. Joie de vivre. Il y a parfois des moments de légèreté dans la vie qui méritent que l’on s’en souvienne quand tout va un peu moins bien.
J’espère que vous allez bien et qu’il y a autant de soleil chez vous que dans le ciel de ce printemps soyeux.
Déjeuner ce matin dans de nouvelles pièces après la visite du marché des Tupiniers hier à Lyon…
Un thé où flotte une ville imaginaire dans un bol signé David Corraux, et une assiette bretonne du peintre céramiste Simon Bellego.
De nouveau de belles rencontres sur ce marché de grande qualité.