LE PORTRAIT
Enfant de l’art, enfant de la nature
Sans prolonger les jours, j’empêche de mourir
Plus je suis vrai, plus je fais d’imposture
et je deviens trop jeune à force de vieillir.
Jean-Jacques Rousseau
LE PORTRAIT
Enfant de l’art, enfant de la nature
Sans prolonger les jours, j’empêche de mourir
Plus je suis vrai, plus je fais d’imposture
et je deviens trop jeune à force de vieillir.
Jean-Jacques Rousseau
Superbe peinture sur un mur de briques à la gloire de Kahlo.
J’avais déjà été inspiré par les plages, les baigneurs, le sable blond et chaud…
C’était le thème de ma dernière exposition à la maison.
Voici le carton d’invitation et quelques tableaux s’y rapportant.
Retour de Cannes. Soleil, plage, balade, lecture, tranquilité…
Tranquilité?
Voici un texte écrit sur la plage ces jours-ci, accompagné des croquis et notes prises pendant ce séjour.
Cannes, vendredi 12 juin, 10h30
Pas trop de monde encore sur cette plage… Je m’avance et cherche une place, un peu à l’écart. Un couple âgé, à plat ventre sur leur serviette m’observe attentivement. Je me déshabille… chaussures dans le sable, bermuda sur les chevilles, tee shirt plié en quatre. Je mets en place ma serviette, et m’enduit de crème solaire. Imperturbable. Je sors mes carnets de notes, mes bouquins et m’allonge enfin. Les quatre yeux ne m’ont pas lâché. Que pensent-ils de mon maillot de bain fleuri?
A deux pas, s’installent à leur tour une mère, ses deux filles blondes et un bébé tout neuf de quelques mois, nommé Lili. Chargement énorme de glacières, serviettes, coussins, jouets en plastique spécial plage, un seau, une pelle, un râteau… Cette trop jeune demoiselle, qui reste en plein soleil sans protection, pousse des cris de joie. Sans fin… Les trois femmes parlent en chœur à l’enfant comme on parle généralement à tous les bébés de cet âge, c’est-à-dire de façon niaiseuse. Bizou-bizou, areuh-areuh… A peu près comme ce vieux monsieur au maillot de bain rétro parle à son caniche noir, en dépensant son peu d’énergie à lui courir après. Il salue un autre vieux monsieur que je n’avais pas remarqué jusqu’ici. Et pourtant! Bedonnant et très poilu, marron-foncé-tendance-grenat pour la couleur, enfoncé dans une chaise de camping rouge, il lit son journal avec une casquette vissée sur le crâne. On peut y lire en lettres dorées : « NY city ».
A l’opposé, une vieille femme, très sèche, brûle sous le soleil. Si elle cherche à bronzer davantage, je crois que c’est impossible, elle est carbonisée!
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Je rentre tout juste des bords de mer, et je trouve dans mon courrier une belle sardine en boîte!
« Sculptée » dans du papier par Stéphanie Miguet (qui organise une manifestation autour des jardins et des artistes ce week-end à Voiron. Pour infos, Voir le site)
Merci… elle rejoindra les boîtes à sirènes, boîtes à marins et boîtes à poissons dans ma cuisine….
Rappelez-vous… Charlot s’éprend d’une jeune fleuriste aveugle qui le prend pour un homme riche. Un milliardaire, à qui Charlot sauve la vie, lui offre sa voiture et de l’argent. Mais très vite, le vagabond dépense sa fortune pour offrir à celle qu’il aime l’opération qui lui rendra la vue…
Scène finale, ou la fleuriste se moque du pauvre vagabond qui constate qu’elle a enfin retrouvé l’usage de ses yeux. Le reconnaitra-t-elle?
Scène tout en émotion, où le cœur bat bien fort…
Oui, je suis en retard dans mon courrier, comme toujours.
L’administratif ne m’intéresse guère, mais ces lettres d’art postal sont importantes.
Alors elles restent là, en évidence, attendant l’inspiration d’une réponse en peinture …
Sortie du film « Coraline« , chouette!
Réalisateur spécialisé dans le cinéma d’animation, Henry Slick est l’auteur
de « L’Etrange Noël de M. Jack » et de « James et la pêche géante« . Ces deux
œuvres majeures de l’animation américaine sont le fruit de ses
collaborations avec le grand, très grand Tim Burton! (scénariste du premier et producteur des deux
projets)
Parce qu’on a tous besoin d’être des clowns
et qu’on a tous besoin d’être amoureux…
Spéciale dédicace pour Amélie…
Paroles: Aldebert, Maxime Le Forestier.
Musique: Aldebert.
Extrait de l’excellent Album « Enfantillages », pour les petits et les grands.
Pourquoi les gens disent toujours
« Plus tard, quand tu seras grand » ?
Moi qui grandis tous les jours
Je suis là et j’attends
J’attends que le jour se lève
De réaliser le rêve
Aujourd’hui et maintenant
De n’être plus un enfant
Je patiente doucement
Que l’on veuille seulement
M’accorder une seconde
Un petit morceau de monde
Ma table de travail est jonchée de croquis, j’ai plein d’idées mais je ne sais pas par quoi commencer.
Le problème à gérer, c’est que je démarre plein de choses que j’abandonne au moment où c’est presque terminé. Je les laisse de côté et je retourne à un autre projet.
Je ne comprends pas bien pourquoi….
C’est grave docteur ?
Voilà enfin le retour du beau temps après des déluges d’eau…
Le soleil repointe le bout de son nez, les oiseaux chantent et les papillons virevoltent à nouveau.
Retournons au jardin fouler les herbes humides et sentir l’odeur de la terre qui se réchauffe
aux premiers rayons du soleil…
Je suis parrain depuis 11h50 ce matin!
Petit dessin pour Amélie à qui j’envoie toute la tendresse du monde, ainsi qu’à la maman…
Faites des mers… ou des océans de tendresse à toutes les mères.
Des bises à la mienne qui vagabonde à l’heure qu’il est dans les steppes de Mongolie.
Surprise en trouvant aujourd’hui dans ma boîte aux lettres un petit sachet d’ex-votos mexicains ! Brigitte et Fernand ont réussi à m’en trouver lors de leur voyage au Mexique. J’en cherchais désespérément pour orner mes pièces ayant pour thème…. Frida Kahlo !
Merci merci merci…
Ces objets se joignent aux prières des mexicains pour la réalisation de leurs vœux. On trouve presque toutes les parties du corps, tête, bras, main, jambe, poitrine, coeur, mais aussi des chiens, des voitures, maisons, femmes enceintes etc…
Les églises ont des panneaux saturés d’ex-votos, d’écritures et de photos composant parfois de telles accumulations qu’un César ou un Arman auraient sans doute apprécié !